Tahaman
2002 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation
Chorégraphe(s) : Momboye, Georges (Cote d'Ivoire)
Présentée dans la/les collection(s) : Centre national de la danse , CN D - Spectacles et performances
Producteur vidéo : Centre national de la danse
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin
Tahaman
2002 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation
Chorégraphe(s) : Momboye, Georges (Cote d'Ivoire)
Présentée dans la/les collection(s) : Centre national de la danse , CN D - Spectacles et performances
Producteur vidéo : Centre national de la danse
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin
Tahaman
« Les danses traditionnelles sont les véritables points d'appui de l'inspiration. »
Georges Momboye
Danse régénératrice et dialogue jubilatoire entre rythmes africains traditionnels et culture urbaine, « Tahaman » retrace l'histoire de la danse hip-hop, en remontant jusqu'à l'une de ses sources africaines, le Bolowi, dans traditionnelle du nord de la Côte d'Ivoire pratiquée à l'origine par les jeunes gens chargés de protéger les champs de riz des oiseaux prédateurs.
Virtuosité des danseurs, rythmes obsédants des percussions, cette pièce est une histoire de rencontres, fière de ses sources, éclatante dans l'osmose entre hip hop et style traditionnel
Le travail du rythme est ici la véritable source d'inspiration de Georges Momboye, chorégraphe pour qui la danse africaine contemporaine s'inscrit dans une réelle continuité avec ses propres racines.
Dernière mise à jour : avril 2010
Momboye, Georges
D'origine ivoirienne, formé à la danse classique, jazz et modern jazz, Georges Momboye débute sa carrière d'interprète en intégrant des compagnies traditionnelles telles que Les Guirivoires, l'Ensemble Koteba ou le Ballet national de Côte d'Ivoire. Rapidement à l'étroit dans l'interprétation traditionnelle, il aspire à d'autres expériences chorégraphiques qu'il poursuit en France, aux Etats-Unis et au Canada auprès d'artistes tels qu'Alvin Ailey, Brigitte Matuizi, Rick Odums, Elsa Wolliaston et Gisèle Houri.
En 1992, il décide de s'installer en France et de créer la compagnie Yankady, « liberté de création » en malinké, rebaptisée compagnie Georges Momboye en 1996. L'objectif résolument affiché de cette compagnie est de diffuser une expression artistique représentative de l'Afrique contemporaine qu'il définit comme la « jeune danse africaine ». Son répertoire entremêle ainsi technique contemporaine, africaines et hip-hop parmi lesquelles deux relectures des Ballets russes (Prélude à l'après-midi d'un faune et Le Sacre du printemps) commandités par la Biennale du Val-de-Marne et des créations jeune public (Clair de lune). Artiste reconnu à l'échelle internationale, il dispense son enseignement en Europe, aux Etats-Unis, en Asie et en Amérique latine à travers des stages. Il fonde à Paris en 1998, le Centre de danses pluri-africaines et des cultures du monde, également désigné Centre Momboye, avec le soutien du conseil international de danse de l'Unesco, qui constitue autant un lieu de référence dans la découverte des danses issues du continent africain, qu'un lieu de confrontation et d'échanges.
En savoir plus :
Ressource électronique de la médiathèque du Centre national de la danse
http://mediatheque.cnd.fr/spip.php?page=mediatheque-numerique-ressource&id=PHO00003890
Centre national de la danse, Réalisation
Depuis 2001, le Centre national de la danse (CND) réalise des captations de ses programmations de spectacle et de pédagogie et crée des ressources à partir de ces représentations filmées (interviews, conférences dansées, rencontres avec des artistes, démonstrations, grandes leçons, colloques spécialisés, montages thématiques, etc.).
Tahaman
Chorégraphie : Georges Momboye
Interprétation : Aboubakar Bébalé, Bilé Ernest N'Draman, Ange Koué, Gérard
Musique live : Emile Djozié, Nicaise Lai Loh, Patrice
Lumières : François-Eric Valentin
Durée : 56 minutes
La danse classique occidentale entre dans la modernité du 20e siècle : Les Ballets russes et les Ballets suédois
Si le 19e siècle est celui du romantisme, l’entrée dans le nouveau siècle est synonyme de modernité ! Ce sera quelques décennies plus tard que lui sera attribué a posteriori un nom : « le néo-classique ».
James Carlès
COLLECTION BAGOUET
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