Ouvrez !
2011 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation
Chorégraphe(s) : Prunenec, Sylvain (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Centre national de la danse , CN D - Spectacles et performances
Producteur vidéo : Centre national de la danse
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin
Ouvrez !
2011 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation
Chorégraphe(s) : Prunenec, Sylvain (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Centre national de la danse , CN D - Spectacles et performances
Producteur vidéo : Centre national de la danse
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin
Ouvrez !
Danses apéritives
« Au XIVème siècle, l'apéritif était une boisson médicinale “qui ouvre les pores, les canaux, les vaisseaux”. J'ai apprécié cette définition du dictionnaire dont les termes se rapportent aux conduits, ouvertures qui permettent au corps tous les échanges — de matières, de gaz, de liquide, d'électricité — nécessaires à sa survie ; et qui en même temps excitent l'imagination : les pores de la peau devenant des ports maritimes, le canal limbique (ou le rachidien) un bras de mer portant des vaisseaux vers des destinations improbables. Imaginaires et considérations physiologiques se mêlent, se répondent, se télescopent. Le duo s'élabore sous la forme d'un relais entre les deux danseurs, l'un développant la danse amorcée par le second. Cette danse se déploie sur un mode volontiers burlesque ; elle se construit à partir de propositions diverses qui sont le point de départ des partitions chorégraphiques. »
Sylvain Prunenec
Dernière mise à jour : septembre 2011
Prunenec, Sylvain
Interprète pour Odile Duboc, Dominique Bagouet, Trisha Brown, Hervé Robbe, Loïc Touzé, Boris Charmatz, Sylvain Prunenec participe à la création O,O de Deborah Hay (2006) et rejoint Olga de Soto pour la pièce « Incorporer ce qui reste ici au cœur »(2007).
En 2008, au Festival d'Avignon (Sujet à vif), il danse dans « Trois cailloux » mis en scène par Didier Galas, avec Laurent Poitrenaux. Il est interprète dans « L'oubli, toucher du bois » (2010) de Christian Rizzo. Au cinéma, il tourne dans « Jeanne et le garçon formidable » (1998) d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau, et dans « Toutes ces belles promesses » (2003), de Jean-Paul Civeyrac.
Depuis 1995, au sein de sa compagnie, l'association du 48, Sylvain Prunenec crée ses propres pièces souvent en collaboration avec des musiciens : « Verso Vertigo » (1996), « Bâti » (1998) avec Fred Bigot, « La Finale » (2002), « Fronde Ethiopia » (2002) avec Françoise Rivalland.
Depuis 2000, il tisse des collaborations avec des artistes africains, notamment la compagnie de danse éthiopienne Adugna et la compagnie congolaise Les Studios Kabako de Faustin Linyekula. Ils créent ensemble « Si c'est un nègre / autoportrait » (chorégraphie de Faustin Linyekula) pour le Vif du Sujet au festival d'Avignon (2003) et développent un projet entre l'Éthiopie, le Congo et la France intitulé « KinAddis / Chantiers chorégraphiques » (2004-2005). Il est lauréat de la Villa Medicis Hors les murs (2002) pour un travail de recherche en Éthiopie. En résidence au Forum culturel, scène conventionnée de Blanc-Mesnil, il conçoit deux créations sur le thème du corps démembré : le solo « Effroi » (2003) et la pièce pour six interprètes, « Redoux » (2004). En janvier 2007 au CND, il crée « Lunatique », inspiré des travaux du physiologiste Étienne-Jules Marey. « About you » (2008) s'appuie sur la décomposition du mouvement. En résidence au théâtre de Vanves (2008-2009), il entame une nouvelle étape de son travail : rendre lisible dans le corps les chemins pas toujours très ordonnés des intentions et des sentiments. Le duo « Ouvrez ! » est créé en 2008. Le projet « Gare ! » (2009-2011) se compose de trois pièces courtes : le solo « love me, love me, love me », le solo « Psycho Killer » et le trio « Respire ».
À partir de 2013, Sylvain Prunenec et l'A.48 sont en résidence pour 3 ans en Marne-et-Gondoire (en Seine-et-Marne, à 25 km de Paris), travaillant autour de la thématique de la nuance.
Dernière mise à jour : octobre 2013
Centre national de la danse, Réalisation
Depuis 2001, le Centre national de la danse (CND) réalise des captations de ses programmations de spectacle et de pédagogie et crée des ressources à partir de ces représentations filmées (interviews, conférences dansées, rencontres avec des artistes, démonstrations, grandes leçons, colloques spécialisés, montages thématiques, etc.).
Ouvrez !
Chorégraphie : Sylvain Prunenec
Interprétation : Sylvain Prunenec, Kerem Gelebek
Musique originale : Manuel Coursin, Michel Guillet
Lumières : Erik Houllier
Durée : 40 minutes
Danse sur Mobilier urbain dissuasif
CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET L'ÉLAN VITAL - échappées chorégraphiques salvatrices
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Danse et arts numériques
Pourquoi je danse ?
Étranges spectacles
Des spectacles atypiques de danse contemporaine qui réinventent le rapport à la scène.
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
La Biennale de la danse
Danses de mains
Ce parcours présente différents extraits vidéo où les mains sont au cœur du mouvement.
Les arts du mouvement
Technique(s) contemporaine(s)
Ce parcours en forme de question part en quête de la ou des technique(s) que révèlent différents spectacles de danse contemporaine et donne une idée des modes de formation des danseurs contemporains.
Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
La compagnie Vlovajobpru
40 ans de rock et danse
La Nouvelle Danse Française des années 80
En France, à l’aube des années 80, une génération de jeunes s’empare du corps dansant pour esquisser leur vision singulière du monde.
Le corps et les conflits
Regard sur les liens qui semblent émerger entre le corps dansant et le monde envisagé comme un organisme vivant.
Les racines de la diversité en danse contemporaine
La petite histoire de Numeridanse
Sacré Sacre
Classique, tellurique, chamanique, révolutionnaire ? Le 29 mai 1913, la première du "Sacre du printemps" de Nijinski fit scandale. Ce webdoc vous raconte l'histoire de cette pièce majeure qui a inspiré tant de chorégraphes.