SOS
Choreographer(s) : Carlès, James (France)
Present in collection(s): Maison de la Danse de Lyon , Pièces pour danseurs en voie de professionnalisation
SOS
Choreographer(s) : Carlès, James (France)
Present in collection(s): Maison de la Danse de Lyon , Pièces pour danseurs en voie de professionnalisation
Carlès, James
James Carles is a choreographer, researcher and lecturer. He received initial training in dance and music of Africa and its Diaspora and then trained with the great names of modern dance in New York and London mainly. Since 1992, he hired an artistic and analytical approach that explores the “places junctions” between the dances, rhythms and philosophies of Africa and its Diaspora with technical and western thoughts frames. To date, his company’s directory contains more than fifty pieces of his own creation and authors like Katherine Dunham, Pearl Primus, Talley Beatty, Asadata Dafora, Geraldine Armstrong, Rick Odums, Wayne Barbaste, Carolyn Carlson, Robyn Orlin, etc.
Dancer soloist and outstanding performer, James Carles was performer and artistic collaborator for not only numerous “all music” ranging from Baroque to contemporary music, through jazz; but also choreographers such as Carolyn Carlson, Robyn Orlin, Rui Horta, Myriam Naisy, etc.
Artist associated with Astrada- Jazz In Marciac 2012-2014, research associate in the laboratory of the University LLA Créatis Jean Jaures Toulouse, James Carles is particularly invests in heritage projects for diversity and diffusion of choreographic culture. He is also founder and artistic director of the festival “Dances and Black Continents”.
Centre chorégraphique James Carlès
L’histoire
C’est en 1992 que James Carlès crée l’Apca-Compagnie.
Petit à petit, le projet a évolué :
– en 1998 avec le Centre de Danse, afin de transmettre et perpétuer un travail artistique et culturel engagé.
– en 1999 le Festival “Danse à Toulouse” qui deviendra en 2007 le festival « Danses et Continents Noirs » fait son apparition, vitrine de cette démarche atypique de valorisation des danses sociales.
– en 2000 vient à son tour la Formation Professionnelle, interdisciplinaire et interculturelle.
Le rayonnement à l’international et les partenaires.
Le centre bénéficie désormais d’un positionnement fort à l’international. En effet, son rayonnement au fil des années s’est installé grâce à la qualité du travail pédagogique et artistique réalisé, les tournées internationales de la Compagnie James Carlès Danse & Co et les différentes compagnies venues des 4 coins du monde que nous accueillons chaque saison lors du Festival Danses et Continents Noirs. Enfin, grâce à des partenariats actifs tissés avec des structures qui comptent à la fois sur le plan artistique, pédagogique et institutionnel.
On peut citer entre autre : Les Compagnies ATDK & Parts en Belgique, Hofesh Schester ou Akram Khan en Angleterre, Batsheva en Israël, Alvin Ailey aux USA, l’Université Jean Jaurès à Toulouse, les Centres Chorégraphiques Nationaux, l’Association des Centres de Développement Chorégraphiques (ACDC), l’Institut National de l’image (INA), le Centre National de la Danse (CND), le Centre National de la Danse Contemporaine d’Angers, etc.
Le nouveau projet
En 23 ans, le projet artistique a trouvé sa force grâce à son contenu, sa cohérence et la qualité des partenaires impliqués. Dans un souci de donner une meilleure lisibilité au projet et un nouvel élan au projet, de faire face aux nouveaux enjeux (économiques, artistiques, sociaux) que le monde actuel nous offre, James Carles a redéfini son projet artistique en lui donnant une nouvelle identité. Le Centre James Carles devient le Centre Chorégraphique James Carles.
Cette nouvelle entité regroupe dans une ligne artistique cohérente :
– L’école de danse
– Le centre de formation professionnelle
– La compagnie James Carles Danse & Co (ex James Carles)
– Le festival international Danses et Continents Noirs
– Des temps de résidence pédagogique avec des artistes (stages et master classes)
Cette nouvelle »identité » artistique, traduit les points suivants :
1/ Une volonté de rendre lisible l’articulation et la cohérence du projet global. En effet, c’est la même ligne artistique qui se décline sur tous les projets.
2/ Une ligne artistique redéfinie ainsi :
– S’affranchir des catégorisations esthétiques existantes (jazz/contemporain/danses urbaines actuelles)
– Affirmer une identité « contemporaine » à racines multiples; c’est à dire, une identité dynamique, ouverte, qui se nourrit pleinement de différentes traditions chorégraphiques et artistiques.
– Etre attentif aux liens qui existent entre des « circulations corporelles » (techniques du corps), les « circulations scéniques » (écritures chorégraphiques, discours, etc…) et les cultures sociales qui les sous tendent.
– Construire et accompagner des artistes et pédagogues dotés d’une grande technique, au fait des enjeux de l’altérité, versatiles, autonomes, libres, singuliers, confiants, capables de porter leur parole, leur réflexion (ou celle de l’autre) sur le plateau et/ou en studio.
3/ Se donner les moyens de développer significativement le contenu, la quantité artistique et pédagogique grâce à :
– Un meilleur maillage de collaboration avec des artistes et structures culturelles du territoire
– Une confirmation et un développement des partenariats artistiques et pédagogiques avec des compagnies, structures pédagogiques et culturelles qui rayonnent sur le plan international
4/ Créer des conditions qui permettent d’offrir de meilleures opportunités professionnelles à nos étudiants
5/ Redéfinir le projet de la compagnie : le cycle de travail autour de répertoire et du patrimoine étant achevé, les productions se feront désormais par « projets », sous forme de « collaborations » avec des individus ou des collectifs artistiques.
6/Orienter la programmation du Festival sur des petites formes, mais qui interroge toujours les enjeux de l’altérité sur la scène contemporaine et dans notre société.
LATITUDES CONTEMPORAINES
Amala Dianor: dance to let people see
The committed artist
In all the arts and here especially in dance, the artist sometimes creates to defend a cause, to denounce a fact, to disturb, to shock. Here is a panorama of some "committed" choreographic creations.
The BNP Paribas Foundation
Night ballet
Indian dances
Discover Indian dance through choreographic creations which unveil it, evoke it, revisit it or transform it!
[1970-2018] Neoclassical developments: They spread worldwide, as well as having multiple repertoires and dialogues with contemporary dance.
In the 1970s, artists’ drive towards a new classic had been ongoing for more than a half century and several generations had already formed since the Russian Ballets. As the years went by, everyone defended or defends classical dance as innovative, unique, connected to the other arts and the preoccupations of its time.
Why do I dance ?
The Dance Biennale
Female / male
A walk between different conceptions and receptions of genres in different styles and eras of dance.
Hand dances
This parcours presents different video extracts in which hands are the center of the mouvement.
Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
Vlovajobpru company
VAISON DANSES
40 years of dance and music
The national choreographic centres
Roots of Diversity in Contemporary Dance
Carolyn Carlson, a woman of many faces
Genesis of work
A dance show is created in multiples steps between the enunciation of an initial desire which launch the project and the first representation. This parcours presents diff