Blare
2018 - Réalisateurs : Tran, Jérémy - Pogorzelski, Robin
Chorégraphe(s) : Tran, Jérémy (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Créations vidéos
Producteur vidéo : Block 8 Production
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin et à la Maison de la danse de Lyon
Blare
2018 - Réalisateurs : Tran, Jérémy - Pogorzelski, Robin
Chorégraphe(s) : Tran, Jérémy (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Créations vidéos
Producteur vidéo : Block 8 Production
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin et à la Maison de la danse de Lyon
Blare
Blare s’ancre dans la volonté de croiser les disciplines artistiques et le souhait d’établir un contexte propice à la rencontre d’univers culturels. Aussi, c’est autour de l'oeuvre musicale de Vivaldi que les réalisateurs Jérémy Tran & Robin Pogorzelski ont décidé d’unir leurs univers pour ouvrir le champs des possibles et mélanger les genres.
À travers la vidéo danse Blare, il s’agit avant tout d’aborder la « danse sociale » et plus particulièrement la danse Hip-Hop comme langage, comme rituel, comme élément fédérateur et enfin comme moyen d’émancipation ; afin de capter à travers elle l’essence de la street-culture pour la confronter et l’hybrider à d’autres langages artistiques que sont la danse contemporaine, la réalisation cinématographique et la musique classique.
Tran, Jérémy
Son parcours artistique et professionnel s’est construit grâce à des projets et collaborations hybrides et pluridisciplinaires, au point de rencontre de la danse, de la performance, de la photographie et de la vidéo. À travers la création, Jérémy Tran tente de saisir, amplifier et transformer l’énergie et la présence du corps — sur la base d’une recherche chorégraphique et cinématographique — afin d’en révéler les essences et les instincts.
Après avoir commencé la danse classique à l'âge de 8 ans, Jérémy Tran, ancien élève du Conservatoire Régional de Lille, décide en 2009 de s'orienter vers la danse contemporaine. C'est fort de ces années et des récompenses obtenues - triple médaillé d'or à la Confédération Nationale de Danse - qu'il intègre en 2010 le Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon. Il obtient en 2014 le Diplôme National Supérieur Professionnel de Danseur, la bourse ADAMI et le trophée talent prodij de la ville de Lyon. Il signe parallèlement de nombreux court-métrages dont Artificial Landscapes, regroupant 140 personnes, qu'il présente en septembre 2014 à la Biennale de la Danse de Lyon, ou encore Dissection sélection officielle du festival international 60secondsdance Danemark.
En 2015 il est sélectionné pour participer comme vidéaste et performer au Watermill Center Summer Program à New York et travailler sous la direction du metteur en scène Robert Wilson. Il chorégraphie également la performance Lagune pour 6 danseurs et une marionnetiste, en collaboration avec l'artiste plasticien Denis Savary à l'occasion du centenaire du DADA.
Il obtient en 2016 le Master 2 Développement de Projets Artistiques et Culturels Internationaux (mention Très Bien) de l'Université Lumière Lyon 2, au sein duquel il réalise un mémoire portant sur Les participations des artistes amateurs dans les créations du monde de la danse : les impacts et enjeux liés à ces interprètes.
Après avoir travaillé comme chargé de suivi de projets au Centre national de la danse, il poursuit sa formation en intégrant l'École Normale Supérieure de Lyon en Conduite de Projet en Architecture de l'Information et occupe dans le même temps les fonctions de chargé d'administration dans un bureau de production artistique lyonnais.
En 2018, il crée son entreprise et devient directeur artistique ainsi qu'auteur indépendant, spécialisé dans la danse et la réalisation vidéo. Il est également admis pour les oraux du concours de sélection des pensionnaires de l'Académie de France à Rome – Villa Médicis, qui se déroulent à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Aujourd'hui Jérémy Tran participe à la fois comme intervenant, chorégraphe-réalisateur, au Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon et la CinéFabrique - École Nationale Supérieure de Cinéma pour traiter de l'articulation entre langage chorégraphique et cinématographique, et poursuit ardemment la conception de nouveaux projets hybrides.
Il s'adonne notamment à la création de Ce qu'il nous reste, une pièce chorégraphique qui sera présentée et interprétée en juin 2020 par le Ballet du Grand Théâtre de Genève.
Tran, Jérémy
Son parcours artistique et professionnel s’est construit grâce à des projets et collaborations hybrides et pluridisciplinaires, au point de rencontre de la danse, de la performance, de la photographie et de la vidéo. À travers la création, Jérémy Tran tente de saisir, amplifier et transformer l’énergie et la présence du corps — sur la base d’une recherche chorégraphique et cinématographique — afin d’en révéler les essences et les instincts.
Après avoir commencé la danse classique à l'âge de 8 ans, Jérémy Tran, ancien élève du Conservatoire Régional de Lille, décide en 2009 de s'orienter vers la danse contemporaine. C'est fort de ces années et des récompenses obtenues - triple médaillé d'or à la Confédération Nationale de Danse - qu'il intègre en 2010 le Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon. Il obtient en 2014 le Diplôme National Supérieur Professionnel de Danseur, la bourse ADAMI et le trophée talent prodij de la ville de Lyon. Il signe parallèlement de nombreux court-métrages dont Artificial Landscapes, regroupant 140 personnes, qu'il présente en septembre 2014 à la Biennale de la Danse de Lyon, ou encore Dissection sélection officielle du festival international 60secondsdance Danemark.
En 2015 il est sélectionné pour participer comme vidéaste et performer au Watermill Center Summer Program à New York et travailler sous la direction du metteur en scène Robert Wilson. Il chorégraphie également la performance Lagune pour 6 danseurs et une marionnetiste, en collaboration avec l'artiste plasticien Denis Savary à l'occasion du centenaire du DADA.
Il obtient en 2016 le Master 2 Développement de Projets Artistiques et Culturels Internationaux (mention Très Bien) de l'Université Lumière Lyon 2, au sein duquel il réalise un mémoire portant sur Les participations des artistes amateurs dans les créations du monde de la danse : les impacts et enjeux liés à ces interprètes.
Après avoir travaillé comme chargé de suivi de projets au Centre national de la danse, il poursuit sa formation en intégrant l'École Normale Supérieure de Lyon en Conduite de Projet en Architecture de l'Information et occupe dans le même temps les fonctions de chargé d'administration dans un bureau de production artistique lyonnais.
En 2018, il crée son entreprise et devient directeur artistique ainsi qu'auteur indépendant, spécialisé dans la danse et la réalisation vidéo. Il est également admis pour les oraux du concours de sélection des pensionnaires de l'Académie de France à Rome – Villa Médicis, qui se déroulent à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Aujourd'hui Jérémy Tran participe à la fois comme intervenant, chorégraphe-réalisateur, au Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon et la CinéFabrique - École Nationale Supérieure de Cinéma pour traiter de l'articulation entre langage chorégraphique et cinématographique, et poursuit ardemment la conception de nouveaux projets hybrides.
Il s'adonne notamment à la création de Ce qu'il nous reste, une pièce chorégraphique qui sera présentée et interprétée en juin 2020 par le Ballet du Grand Théâtre de Genève.
Pogorzelski, Robin
Diplômé de l’ARFIS Lyon, école de cinéma et d'audiovisuel, Robin Pogorzelski réalise en 2014 le court-métrage, « les Souffles », financé grâce à l'obtention de la bourse « Prodij ». Il intègre dès la fin de son cursus, la société de production Block 8 où il travaillera en tant que réalisateur et chef opérateur sur des projets de publicités et de clips musicaux. En parallèle, il collabore également avec diverses agences basées à Paris en tant que réalisateur et commence une série de « portraits » documentaires entre la France et le Rwanda. En 2017, il est à la charge de l'image du documentaire « Everest Green », tourné au Népal et actuellement diffusé à la télévision. A présent, en partenariat avec Block8, il s’attelle à la production de son prochain court-métrage « Terre Brûlée » ainsi qu'à l'écriture d'un documentaire de 52' sur un pan de l'histoire Polonaise pendant la seconde guerre mondiale.
Block 8 Production
Block 8 est une agence de création audiovisuelle. Innovant dans le film corporate, publicité, fiction, clip ou documentaire, Block 8 privilégie une esthétique de cinéma pour chaque projet.
De l'idée à la post-production, l’équipe Block8 maîtrise chaque étape de production audiovisuelle, ainsi que les dernières technologies de l'image et du son. Leurs réalisateurs et techniciens mettent leur expérience et leur talent au service de tout type de prestation : scénario, repérages, casting, storyboard, tournage, studio, motion-design, montage, VFX, étalonnage, enregistrement sonore, sound-design, composition musicale, mixage, sous-titrage, graphisme, DCP.
Blare
Direction artistique / Conception : Jérémy Tran & Robin Pogorzelski
Assistance direction artistique / conception : Ronnie Franco
Chorégraphie : Jérémy Tran
Interprétation : Lucille Mansas, Camille Cabanis, Adrien Martins, Born-For-Jacking, Bosco, Jack-Jack, Lucky Dra, Timo, Mazmaz, Pac-Pac
Mise en scène : Jérémy Tran
Musique additionnelle : Antonio Vivaldi - "Summer" Violin Concerto No. 2 in G minor
Conception vidéo : Jérémy Tran & Robin Pogorzelski
Lumières : Jean Combier
Costumes : Stanislas Hagen
Autres collaborations : VFX : Loic Foulon
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Block 8 Production
Durée : 2 minutes 57 secondes
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
James Carlès
Memories (ou l'oubli)
COLLECTION BAGOUET
L'artiste engagé
Dans tous les arts et ici spécialement en danse, l’artiste crée parfois pour défendre une cause, dénoncer un fait, troubler, choquer. Voici un panorama de quelques créations chorégraphiques « engagées ».
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1930-1950] De la Modern Dance expressive à une vision moderne abstraite.
Partenaires artistiques de K. Danse
Danse sur Mobilier urbain dissuasif
LIL'ACTA
Nouveau souffle : La jeunesse du XXIème siècle entre dans la danse
(LA)HORDE : RÉSISTER ENSEMBLE
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Danse et arts numériques
Danses noires
Pourquoi je danse ?
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.