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Les cahiers retrouvés de Nina Vyroubova

Les cahiers retrouvés de Nina Vyroubova

Les cahiers retrouvés de Nina Vyroubova

Elle  fut la muse de Serge Lifar, des ballets du marquis de Cuevas, de Roland  Petit. La petite Russe de Meudon devenue étoile de l'opéra de Paris note alors dans des cahiers d'écolière les dessins des chorégraphies  créées pour elle. A partir de ces cahiers, Dominique Delouche emmène Nina Vyroubova dans un voyage à travers ses rôles.

Tout  au long du film, les images d'archives du Spectre de la danse ou de  Giselle alternent avec celles de Nina Vyroubova aujourd'hui,  transmettant ses rôles à de jeunes danseuses. On la suit également à  Saint-Pétersbourg, un voyage sentimental qui la mène de la datcha de son  grand-père à l'Académie du ballet russe où elle est acclamée. Ses  souvenirs ponctuent les images d'anecdotes, notamment lorsqu'elle évoque  son arrivée à l'opéra de Paris. Serge Lifar lui avait demandé de venir  remplacer "l'irremplaçable" Yvette Chauviré et, du jour au lendemain, Nina Vyroubova s'est retrouvée propulsée dans le tout Paris des années 40. Un conte de fées moderne qui fait encore briller les yeux de la  danseuse. 


Source : Fabienne Arvers

Ballet de l'Opéra national de Paris

Le Ballet de l'Opéra de Paris constitue le berceau de la danse  classique. Son origine remonte aux ballets de cour du règne de Louis XIV  et à l'Académie royale de danse, créée en 1661, où furent établis les  principes de base et les codes toujours en vigueur. Ne formant au départ  qu'un seul et même corps (la comédie-ballet), opéra et ballet se sont  peu à peu dissociés et ont pris chacun leur indépendance. L'Opéra a  toujours eu une double vocation de maintien de la tradition classique -  le Ballet de l'Opéra est une compagnie de répertoire - et d'ouverture à  la création contemporaine. Dès le XVIIIe siècle, danseurs et  chorégraphes français allèrent dispenser leur art à travers toute  l'Europe, recevant en retour l'influence de l'étranger (en particulier  d'Italie et de Russie) ; aujourd'hui encore sont invités à l'Opéra les  plus grands chorégraphes et danseurs du moment.


Source : Ivor Guest, Le Ballet de l'Opéra de Paris : Trois siècles d'histoire et de tradition. 2001, Flammarion : Paris. 336p.

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