Un faible degré d’originalité (suffit à conférer une protection)
2011 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation
Chorégraphe(s) : Defoort, Antoine (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Centre national de la danse , CN D - Spectacles et performances
Producteur vidéo : Centre national de la danse
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin
Un faible degré d’originalité (suffit à conférer une protection)
2011 - Réalisateur-rice : Centre national de la danse, Réalisation
Chorégraphe(s) : Defoort, Antoine (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Centre national de la danse , CN D - Spectacles et performances
Producteur vidéo : Centre national de la danse
Vidéo intégrale disponible au CND de Pantin
Un faible degré d’originalité (suffit à conférer une protection)
Une performance inédite, drôle (sans doute) et décalée (certainement) autour des questions des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle. Une «causerie» décousue (peut-être) mais conviviale (indéniablement).
Antoine Defoort sait réinventer l'art de la performance, d'une manière drôlement décomplexée. Mathématicien de formation, plasticien, inventeur volubile et loufoque, il sape la notion d'art contemporain dans des spectacles truculents et inclassables où le public ne sait pas toujours à quoi s'attendre.
« Il s'agit de la première étape d'un projet qui va peut-être finir par s'appeler QSDFJKLMG (ce sera un titre aléatoire, qui devra être composé de 7 à 12 consonnesenmajusculeetcommencerparQSDF, ce qui peut donner par exemple QSDFLMPRTP ou QSDFLKH), mais qui pour l'instant et pour des raisons de commodité s'appelle comme mentionné plus haut.
Dressant un état des lieux de la propriété intellectuelle et de son histoire et tergiversant sur ses enjeux et ses implications sociétales, cette "causerie" déployera des efforts de rigueur et de documentation, probablement tempérés par un niveau de discours proche de celui du goûter du dimanche entre amis.
Comme à l'accoutumée, les aspects formels de l'opération risquent de subir un traitement particulier ; cette proposition évoquera alors (peut-être) davantage la lecture de poésie sonore que le cours de droit.
Antoine Defoort
Dernière mise à jour : janvier 2012
Defoort, Antoine
Antoine Defoort est né à Lille. Plasticien de formation, il déploie un humour décomplexé et décalé. Si ce Lillois, qui a commencé par étudier les maths et les arts du spectacle avant de se tourner vers les beaux-arts, s'est intéressé à la performance de l'installation, c'est parce qu'il peut y entreposer tout ce qui l'intéresse : les sons, les textes, les vidéos, les corps. Un travail étonnant, aux limites de l'art numérique, de l'art contemporain et de la potacherie.
« Après un micro-parcours universitaire chaotique, j'ai commencé des études d'art au travers de diverses institutions françaises et je me retrouve maintenant titulaire du prestigieux Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique Agréé par le Ministère de la Culture et de la Communication, le fameux DNSEP, que j'ai eu en 2004 dans mon école qui s'appelait l'ERSEP à Tourcoing, qu'avec les copains pour rigoler on appelait l'ERPES. Au cours de ces études je me suis progressivement rendu compte que la performance d'art contemporain était le contenant idéal pour stocker toute sorte de contenus hétéroclites, et ça tombait bien puisque l'hétéroclicité était un de mes dadas, qui était par ailleurs mes références. C'est un travail qui vise à établir des connexions. Des connexions de formes, de sens, de médiums, de matériaux. On pourrait dire que ce sont des collections de connexions. C'est-à-dire, si vous voulez, des collexions. Les ratés et les approximations sont ajustés avec soin et dessinent une ligne esthétique singulière. J'ai beau maintenant faire des spectacles ou être invité dans des festivals de danse, je revendique toujours le fait d'être plasticien, d'avoir une démarche et de proposer une grille de lecture qui relève de l'art plastique. J'ai un plan B en cas d'échec de ma carrière artistique, mais je ne vous le dirais pas, parce que si ça rate aussi, c'est nul. » (Antoine Defoort)
Source: Site d'Antoine Defoort
Centre national de la danse, Réalisation
Depuis 2001, le Centre national de la danse (CND) réalise des captations de ses programmations de spectacle et de pédagogie et crée des ressources à partir de ces représentations filmées (interviews, conférences dansées, rencontres avec des artistes, démonstrations, grandes leçons, colloques spécialisés, montages thématiques, etc.).
L'Amicale de Production
L’Amicale de production est une plateforme coopérative de création et un laboratoire artistico-méthodologique qui imagine et propose des rapports singuliers à l’art et au travail. Penser son métier de manière coopérative est une alternative qui correspond pour l’Amicale à plusieurs envies et un projet politique : sortir des logiques concurrentielles, repenser les rythmes de la création, mutualiser les moyens et les compétences et développer des projets vivants. Convaincus que l’outil de production influe la création elle-même, ses membres veulent placer les mécanismes et processus encore davantage au cœur du projet. Leur aventure coopérative intègre tous les métiers : artistes, comédiens, techniciens, chargés de production, diffusion, logistique, administrateurs et partenaires.
L’Amicale a été créée en 2010 par Antoine Defoort, Julien Fournet et Halory Goerger. Elle est basée à Lille et à Bruxelles.
Source : site du CND
Un faible degré d'originalité (suffit à conférer une protection)
Direction artistique / Conception : Antoine DEFOORT
Interprétation : Antoine DEFOORT
Autres collaborations : Régie Robin MIGNOT - Accompagnement transversal Julien FOURNET
Durée : 50 minutes
James Carlès
COLLECTION BAGOUET
L'artiste engagé
Dans tous les arts et ici spécialement en danse, l’artiste crée parfois pour défendre une cause, dénoncer un fait, troubler, choquer. Voici un panorama de quelques créations chorégraphiques « engagées ».
CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET L'ÉLAN VITAL - échappées chorégraphiques salvatrices
Danses indiennes
Une découverte de la danse indienne au travers de créations chorégraphiques qui la dévoilent, la suggèrent, la revisitent ou la transforment !
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Pourquoi je danse ?
Étranges spectacles
Des spectacles atypiques de danse contemporaine qui réinventent le rapport à la scène.
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.
La Biennale de la danse
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Ce parcours présente différents extraits vidéo où les mains sont au cœur du mouvement.
La danse contemporaine italienne : les années deux mille
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La compagnie Vlovajobpru
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En France, à l’aube des années 80, une génération de jeunes s’empare du corps dansant pour esquisser leur vision singulière du monde.
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Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
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Présentation de la manière dont les chorégraphes contemporains revisitent le Folklore.