Peekaboo
2018 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien
Chorégraphe(s) : Goecke, Marco (Germany)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la Danse de Lyon , Saisons 2010 > 2019
Peekaboo
2018 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien
Chorégraphe(s) : Goecke, Marco (Germany)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la Danse de Lyon , Saisons 2010 > 2019
Peekaboo
Peekaboo de Marco Goecke, chorégraphe allemand associé au Nederlands Dans Theater, est une création conçue sur mesure pour huit danseurs qui s’y jettent à corps perdu. Avec cette création, Marco Goecke a été élu chorégraphe de l’année 2015 par le magazine TANZ.
Solos, duos, trios et passages de groupe s'enchaînent avec efficacité sur la musique de Britten, sur le jeu du "se cacher-se dévoiler". La danse est syncopée et vive, permettant de réagir chacun.e à sa façon à ce jeu enfantin - tantôt apeuré, tantôt téméraire, tantôt amusé. Charismatique, percutant.e, investi.es jusqu'au bout du mouvement, chacun.e a la présence de soliste comme le souci de la cohérence du groupe.
Source : Maison de la Danse de Lyon ; Danse avec la Plume
Goecke, Marco
Né à Wuppertal, en Allemagne, Marco Goecke reçoit sa formation de danseur au Heinz-Bosl-Stiftung de Munich ainsi qu’au Conservatoire royal de La Haye. Il intègre par la suite le Staatsoper im Schiller Theater de Berlin puis le Théâtre Hagen.
Après ses débuts en tant que chorégraphe à Hagen et à la Société Noverre de Stuttgart, Goecke crée des ballets pour le New York City Ballet (Mopey, 2004) et pour le Ballet de Stuttgart (Sweet Sweet Sweet, 2005). Il est par ailleurs nommé chorégraphe résident de la compagnie la même année. Son interprétation du classique Casse-Noisette (2006) — tout comme ses œuvres Alben (2008), Fancy Goods (2009), Orlando (2010), in sensu (2011), Black Breath (2012), Dancer in the Dark (2012) et On Velvet (2013) — connait un succès retentissant.
Ses spectacles en solo, Äffi et Mopey, sont entrés au répertoire du Ballet de Stuttgart et du Scapino Ballet Rotterdam, et ont été présentés dans de nombreux galas à travers le monde. Marco Goecke crée également des œuvres pour le Ballet de Hambourg, le Ballet de Leipzig, le Nederlands Dans Theater, le Ballet national de Norvège, le Pacific Northwest Ballet, Les Ballets de Monte-Carlo, le Berlin State Ballet, la Sao Paulo Companhia de Dança et le Ballet de Zurich.
Après avoir collaboré pendant plus de sept ans avec le Scapino Ballet Rotterdam en tant que chorégraphe résident, Marco Goecke accepte le poste de chorégraphe associé au Nederlands Dans Theater en 2013. Dans sa plus récente création pour la compagnie, intitulée Hello Earth, les danseurs performent sur du maïs soufflé !
Source : www.dansedanse.ca
Plasson, Fabien
Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).
C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.
En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.
En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.
Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.
Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson
São Paulo Dance Company
Direction artistique : Inês Bogéa
Création : 2008
Créée en janvier 2008 par le gouvernement de l'État de São Paulo, la São Paulo Companhia de Dança (SPCD) est dirigée par Inês Bogéa, doctorant en Arts, danseur, documentariste et écrivain. La compagnie a un répertoire varié allant du classique au contemporain. Reconnue comme l'une des principales compagnies de danse d'Amérique latine, depuis sa création, la compagnie a produit 49 chorégraphies: 27 créations et 22 restagings.
SPCD cherche une connexion avec le public par la curiosité et la perception du monde de la danse en mouvement. Les programmes montrent la variété du répertoire de SPCD et la dynamique des danseurs brésiliens. Ils ont la passion et sur scène ils montrent l'énergie et leur joie d'être présents. Les danseurs sont polyvalents et capables de passer de la danse classique à la danse contemporaine avec un accent particulier.
Source : Site de la São Paulo Dance Company
En savoir plus : spcd.com.br
Peekaboo
Chorégraphie : Marco Goecke
Mise en scène : Nadja Kadel
Musique additionnelle : Benjamin Britten, Chorale Mieskuoro Huutajat
Lumières : Udo Haberland
Costumes : Marco Goecke
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Production São Paulo Dance Company, Associação Pró-Dança - São Paulo, Secretaria da Cultura / Governo do Estado de São Paulo // Coproduction Movimientos Festival - Wolfsburg.
La danse classique occidentale entre dans la modernité du 20e siècle : Les Ballets russes et les Ballets suédois
Si le 19e siècle est celui du romantisme, l’entrée dans le nouveau siècle est synonyme de modernité ! Ce sera quelques décennies plus tard que lui sera attribué a posteriori un nom : « le néo-classique ».
LATITUDES CONTEMPORAINES
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
James Carlès
L'artiste engagé
Dans tous les arts et ici spécialement en danse, l’artiste crée parfois pour défendre une cause, dénoncer un fait, troubler, choquer. Voici un panorama de quelques créations chorégraphiques « engagées ».
Vidéo-danses mexicaines
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1930-1950] De la Modern Dance expressive à une vision moderne abstraite.
La part des femmes, une traversée numérique
Partenaires artistiques de K. Danse
QUDUS ONIKEKU : Se réapproprier une mémoire oubliée
(LA)HORDE : RÉSISTER ENSEMBLE
CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET L'ÉLAN VITAL - échappées chorégraphiques salvatrices
Danses indiennes
Une découverte de la danse indienne au travers de créations chorégraphiques qui la dévoilent, la suggèrent, la revisitent ou la transforment !
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Danse et arts numériques
Danses noires
Pourquoi je danse ?
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.