La Belle au bois dormant
2016 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien
Chorégraphe(s) : Massin, Béatrice (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la Danse de Lyon , Saisons 2010 > 2019
Producteur vidéo : Maison de la Danse
La Belle au bois dormant
2016 - Réalisateur-rice : Plasson, Fabien
Chorégraphe(s) : Massin, Béatrice (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Maison de la Danse de Lyon , Saisons 2010 > 2019
Producteur vidéo : Maison de la Danse
La Belle au bois dormant
Béatrice Massin entreprend une relecture du conte de Perrault. Avec La Belle au bois dormant, la compagnie Fêtes galantes propose un voyage dans le temps à cette Belle qui s'endort chez Lully et se réveille chez Mozart...
A travers l’abstraction de la danse, le récit touche à l’intime de chaque enfant-spectateur afin de lui permettre de cheminer dans son propre conte. L'occasion de montrer le merveilleux et toute la palette intemporelle de la danse baroque.
Massin, Béatrice
Interprète dans plusieurs compagnies contemporaines, dont celle de Susan Buirge, Béatrice Massin est engagée en 1983 par Ris et Danceries où elle alterne durant dix années, l'interprétation, la recherche sur le répertoire, l'assistanat et la création chorégraphique. Elle crée Water music de Haendel à l'Arsenal de Metz (1990), Bastien et Bastienne (1991), Les petits riens de Mozart (1991) pour l'atelier lyrique de Tourcoing et signe les chorégraphies de Médée sur la musique de Marc-Antoine Charpentier (1983).
Fin 1993, Béatrice Massin fonde sa propre compagnie, Fêtes Galantes, pour laquelle elle monte un spectacle par an : reconstitutions de pièces du répertoire baroque, mais surtout, créations utilisant le vocabulaire chorégraphique de la danse du XVIIe (Charpentier des ténèbres, Carte du tendre, Pipinone, Trio triptyque ou tout récemment Que ma joie demeure).
De décembre 1999 à juillet 2000, Béatrice Massin crée et dirige les chorégraphies du film Le roi danse de Gérard Corbiau. En septembre 2001 Béatrice Massin est invitée par le ballet de Lorraine pour la création de trois chorégraphies baroques.
Parallèlement à son travail de recherche et de création, elle assure des programmes pédagogiques à l'Opéra Bastille, à la Cité de la musique, ou encore au Centre national de la danse, sous forme de conférences-spectacles, stages et ateliers et propose la découverte de la danse académique baroque ainsi que des reconstitutions de pièces du répertoire baroque.
Plus d'informations : Site de la compagnie
Ressource électronique de la médiathèque du CND sur la compagnie Fêtes galantes
http://mediatheque.cnd.fr/spip.php?page=mediatheque-numerique-ressource&id=PHO00003922
Plasson, Fabien
Fabien Plasson est réalisateur, principalement dans le domaine du spectacle vivant (danse, musique, etc.).
C’est au cours de sa formation à l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Lyon qu’il intègre en 1995 que Fabien découvre l’art vidéo. Il se forme alors auprès de divers artistes vidéastes (Joël Bartoloméo, Pascal Nottoli, Eric Duyckaerts, etc).
Son approche s’inscrit d’abord dans une recherche plastique avec la création d’installations et d’objets filmiques.
En 2001, il rejoint l’équipe de la Maison de la Danse de Lyon et s’occupe durant 10 ans de la programmation du Vidéo-Bar Ginger&Fred. Il découvre alors l’univers chorégraphique et les enjeux de la vidéo pour la diffusion et la transmission de la danse aux côtés de Charles Picq alors vidéaste et directeur du service vidéo de la Maison de la Danse.
En parallèle, il continue son activité de création plastique, réalise des vidéos de concerts, de pièces de théâtre et crée également des décors vidéos pour le spectacle vivant.
Aujourd’hui, Fabien Plasson est réalisateur vidéo au Pôle Image de la Maison de la Danse de Lyon et pour Numeridanse.tv, vidéothèque internationale de danse en ligne.
Source : Maison de la Danse, Fabien Plasson
Compagnie Fêtes galantes
Direction artistique: Béatrice Massin
Année de création: 1993
Par la singularité de son travail et la complémentarité de ses actions, la compagnie Fêtes galantes se veut, tant sur le plan national qu’international, l’acteur incontournable de la valorisation et de la transmission du patrimoine chorégraphique français des XVIIe et XVIIIe siècles, ainsi qu’un lieu de production et de création contemporaine résolument tourné vers le XXIè siècle.
Lorsqu’en 1993 Béatrice Massin fonde la compagnie Fêtes galantes, elle souhaite mettre en lumière au moyen de ses créations et d’un travail de sensibilisation, les relations fortes qui existent entre le XVIIème et le XXème siècle. Cette démarche spécifique s’inscrit là où l’Histoire de la danse occidentale trouve sa source, mais également là où la rencontre avec la matière contemporaine est possible.
Après dix ans d’existence, le succès de la pièce "Que ma joie demeure" affirme la direction de la compagnie et la particularité de l’écriture chorégraphique de Béatrice Massin. Une écriture qui utilise la « matière baroque » dans toute sa spécificité et toute sa modernité. Précisément, cette « matière baroque » est de l’ordre de l’appropriation d’un « langage » qui passe par des apprentissages rigoureux de la notation et de l’écriture, d’une musicalité du geste, d’une construction d’espace, de coordinations gestuelles et de volumes corporels. Mais c’est aussi la capacité de cette « matière » à être traitée par des savoirs techniques contemporains ou hétérogènes qui a « fait » le baroque tel qu’il existe est peut se définir au sein de Fêtes galantes sous le néologisme de post-baroque.
Le post-baroque invite à quitter les plateaux et salles feutrées des opéras pour rencontrer les grands plateaux de la modernité culturelle décentralisée. Ce dépoussiérage du spectacle chorégraphique baroque adapté aux architectures des nouveaux lieux de spectacle portait une « révolution » qui résonnait positivement avec les revisitations de la musique et des architectures. Cette « première » révolution fut celle d’un geste qui décidait de son espace, de sa musicalité, de son rythme et de ses mises en scène. Fort de cette affirmation de style, l’Atelier baroque, cellule de transmission et de recherche de la compagnie Fêtes galantes, est créé en 2003. L’atelier baroque valorise le travail pédagogique en ouvrant le panel des publics et en s’orientant vers la formation des danseurs professionnels.
Source : Site de la Compagnie Fêtes Galantes
En savoir plus : fetesgalantes.com
La Belle au bois dormant
Direction artistique / Conception : Béatrice Massin
Chorégraphie : Béatrice Massin
Interprétation : Olivier Bioret, Marie Tassin, Corentin Le Flohic
Scénographie : Evelyne Rubert
Musique additionnelle : Jean-Baptiste Lully, Marin Marais, Élisabeth Jacquet de la Guerre, Leopold Mozart, Wolfgang Amadeus Mozart
Lumières : Evelyne Rubert
Costumes : Clémentine Monsaingeon
Son : Emmanuel Nappey
Autres collaborations : Thierry Charlier (régie générale)
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Coproduction Théâtre Montansier - Versailles, Théâtre National de Chaillot, Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne / Compagnie Kafig / direction Mourad Merzouki, Opéra national de Bordeaux, Compagnie Fêtes galantes // Avec le soutien du Pôle Culturel d’Alfortville // Ce projet bénéficie du soutien de l’Adami (société des artistes-interprètes, gère etdéveloppe leurs droits en France et dans le monde pour une plus juste rémunération de leur talent. Elle les accompagne également avec ses aides aux projets artistiques.)
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la Danse - 2016
La danse classique occidentale entre dans la modernité du 20e siècle : Les Ballets russes et les Ballets suédois
Si le 19e siècle est celui du romantisme, l’entrée dans le nouveau siècle est synonyme de modernité ! Ce sera quelques décennies plus tard que lui sera attribué a posteriori un nom : « le néo-classique ».
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
COLLECTION BAGOUET
La Fondation BNP Paribas
La part des femmes, une traversée numérique
Pourquoi je danse ?
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.
La ronde
De l’importance de la Ronde en danse aujourd’hui.
La Biennale de la danse
Féminin - Masculin
Promenade entre les différentes conceptions et réceptions des genres dans les différents styles et époques de la danse.
Danse et arts plastiques
Danse et arts plastiques sont parfois en collaboration sur scène. Ce Parcours ne peut aborder toutes les formes de leurs relations ; il tente seulement de montrer l'importance de la création plastique dans certaines chorégraphies.
Hip hop / Influences
Ce Parcours présente un aperçu des racines de la danse Hip Hop.
La compagnie Vlovajobpru
LE FESTIVAL VAISON DANSES
40 ans de rock et danse
La Nouvelle Danse Française des années 80
En France, à l’aube des années 80, une génération de jeunes s’empare du corps dansant pour esquisser leur vision singulière du monde.