F.I.V.E
2006 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Dossavi, Julie (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse.tv
Producteur vidéo : Les Géographes
F.I.V.E
2006 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Chorégraphe(s) : Dossavi, Julie (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse.tv
Producteur vidéo : Les Géographes
F.I.V.E
Julie Dossavi, beauté d'origine béninoise et danseuse d'exception, présente le solo F.I.V.E. Au commencement, la lecture de la lettre bouleversante que portaient sur eux les deux enfants guinéens retrouvés morts dans le train d'atterrissage d'un avion en 1999. Une déflagration somptueuse, une danse à l'écoute du monde.
Source : Maison de la Danse - Programme
Dossavi, Julie
Athlète de formation (UEREPS option danse contemporaine), Julie Dossavi danse avec Jean-François Duroure et Philippe Decouflé. Elle est interprète et assistante chorégraphe auprès de Kettly Noël, danseuse interprète avec Salia Ni Seydou, Kader Attou et collabore à des défilés de mode (Jean-Paul Gaultier). En 2003, elle créé la Compagnie Julie Dossavi à Poitiers et développe une danse contemporaine très personnelle, hybride et robuste, sensuelle et plastique, toute en variations de formes et de rythmes. Elle compose des spectacles intimes autour de la condition féminine et du phénomène de la double culture.
A côté de pièces chorégraphiques pour plusieurs interprètes, Julie Dossavi creuse la forme du solo dansé sur une scène partagée avec des musiciens ou des chanteurs. Invitée par la manifestation "Le Vif du sujet" en 2004, elle demande à Daniel Larrieu de lui composer un solo, À chaque vent le papillon se déplace sur le saule, présenté par les festivals Montpellier Danse et Paris Quartier d’été. En 2012, elle présente "Cross & Share" aux Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine Saint Denis, où elle explore une troisième voie, celle d'une co-composition, co-écriture et réunit autour d'un principe de création partagée des auteurs, chorégraphes, musiciens, metteur en scène de renom : Thomas Lebrun, Serge Aimé Coulibaly, Hamid Ben Mahi et Michel Schweizer.
Source : Site de la Cie Julie Dossavi
En savoir plus : cie-juliedossavi.com
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
F.I.V.E.
Direction artistique / Conception : Gérard Gourdot
Chorégraphie : Julie Dossavi, Gérard Gourdot
Interprétation : Julie Dossavi
Musique originale : Landoz'art
Musique additionnelle : Afrika Baambaata
Lumières : Olivier Jondot
Costumes : Valérie Said
Son : David Godard
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Maison de la Danse
LATITUDES CONTEMPORAINES
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
James Carlès
COLLECTION BAGOUET
L'artiste engagé
Dans tous les arts et ici spécialement en danse, l’artiste crée parfois pour défendre une cause, dénoncer un fait, troubler, choquer. Voici un panorama de quelques créations chorégraphiques « engagées ».
Vidéo-danses mexicaines
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1930-1950] De la Modern Dance expressive à une vision moderne abstraite.
La part des femmes, une traversée numérique
Partenaires artistiques de K. Danse
Danse sur Mobilier urbain dissuasif
QUDUS ONIKEKU : Se réapproprier une mémoire oubliée
CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET L'ÉLAN VITAL - échappées chorégraphiques salvatrices
Danses indiennes
Une découverte de la danse indienne au travers de créations chorégraphiques qui la dévoilent, la suggèrent, la revisitent ou la transforment !
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.
Danse et arts numériques
Danses noires
Pourquoi je danse ?
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Rencontres avec la littérature
La collaboration entre chorégraphe et écrivain fait apparaître de multiples combinaisons. Parfois, ce n’est plus le chorégraphe qui « met en danse » le texte d’un auteur, c’est l’écrivain qui prend la danse pour sujet ou matière de son texte.
Danse et performance
Echantillon d’extraits des figures burlesques de la Performance en danse.