Giselle
2005 - Réalisateur-rice : Protasoni, Tina
Chorégraphe(s) : Chauviré, Yvette (France) Coralli, Jean (Italy) Clerc, Florence (France) Perrot, Jules (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse.tv
Producteur vidéo : ARTHAUS Musik, Teatro alla Scala, Rai Trade
Giselle
2005 - Réalisateur-rice : Protasoni, Tina
Chorégraphe(s) : Chauviré, Yvette (France) Coralli, Jean (Italy) Clerc, Florence (France) Perrot, Jules (France)
Présentée dans la/les collection(s) : Numeridanse.tv
Producteur vidéo : ARTHAUS Musik, Teatro alla Scala, Rai Trade
Giselle
Giselle, -"ballet-pantomime en deux actes" créé à Paris le 28 juin 1841 à l'Académie royale de musique, et salué dans l'histoire de la danse comme l'apothéose du ballet romantique- pourrait bien nous sembler aujourd'hui être la plus ancienne oeuvre chorégraphique du répertoire née de la convergence de multiples sources créatrices.
Archétype du ballet romantique, Giselle reprend le grand thème traditionnel de l'amour plus fort que la mort, motif qui remonte au mythe d'Orphée et Eurydice pour atteindre son apogée au milieu du XIXe siècle et tout au long des décennies suivantes dans les drames musicaux de Richard Wagner.
De quoi s'agit-il ? Giselle, fille des champs naïve et innocente, s'éprend d'un bel inconnu dont elle se croit aimée en retour. Entourés de leurs amis, tous deux se réjouissent de cet amour partagé, sous l'oeil jaloux du garde-chasse Hilarion qui soupire lui-même pour Giselle.
Hilarion découvre qui est le bien-aimé de la petite paysanne : un jeune noble du nom d'Albrecht. A l'occasion de la visite du prince accompagné de sa suite pour une partie de campagne, les deux rivaux s'affrontent, et la véritable identité d'Albrecht est dévoilée. On apprend de surcroît qu'Albrecht est fiancé à Bathilde, fille du prince. Giselle, d'une nature déjà des plus fragiles, en perd la raison.
Elle s'empare de l'épée d'Albrecht pour s'en transpercer le sein avant de se lancer dans une danse mortelle.
L'acte II se déroule au bord d'un étang, la nuit, dans la forêt. On aperçoit une tombe dont la croix porte l'inscription "Giselle". C'est le royaume de Myrtha, reine des Willis. Myrtha est à la tête d'une armée de jeunes vierges mortes, dont les spectres nocturnes attirent en ces lieux leurs fiancés infidèles jusqu'à ce que mort s'ensuive. Hilarion lui-même, que Giselle a éconduit, est attiré en cette heure de la nuit auprès du tombeau de la jeune fille pour subir ce sort. Survient Albrecht qui vient se recueillir sur la tombe de Giselle. Ayant appelé la défunte, Myrtha la contraint à prendre Albrecht dans ses filets en dansant. (...) Au moment où il finit par être à bout de force, une clochesonne la fin de l'heure des spectres. Les Wilis doivent regagner leurs tombes. Giselle quitte Albrecht en sachant qu'elle vient de lui sauver la vie.
Giselle rejoint ainsi ces personnages féminins si chers au romantisme, qui se sacrifient jusqu'à la folie pour leur bien-aimé.
Source : Horst Koegler (traduction Virginie Bauzou), livret ARTHAUS Musik
DVD DISPONIBLE CHEZ ARTHAUS MUSIK : arthaus-musik.com/
Chauviré, Yvette
Née à Paris le 22 avril 1917, Yvette Chauviré fut admise à l’école de danse de l’Opéra à l'âge de dix ans. Elle fit ses premiers pas sur scène en 1929 dans l’éventail de Jeanne. Elle intègra le corps de ballet de l'Opéra en 1934 où elle gravit tous les échelons rapidement : de quadrille elle devint directement petit sujet sans passer par la classe des coryphées. Elle fut nommée danseuse étoile en décembre 1941 lors de la première du ballet Ishtar chorégraphié pour elle par Serge Lifar.
En 1947, elle connut un très grand succès en interprétant le rôle de l’ombre dans "les Mirages" de Serge Lifar. Sa carrière à l’Opéra fut ponctuée de désaccord, elle quitta la compagnie à plusieurs reprises, notamment en 1946 où elle rejoignit Serge Lifar en tant qu’étoile invitée au Ballet de Monte-Carlo. Elle s'était déjà produite avec cette compagnie dès 1945. Elle revint à l’Opéra de 1947 à 1949 et repartit pour une tournée mondiale de 1949 à 1952, puis revint dans la maison mère de 1953 à 1962. Parallèlement, elle continua à se produire sous contrat dans différentes compagnies à travers le monde. Elle créa également des chorégraphies dont Rendez-vous sentimental.
En 1970, elle se produisit au Brésil à Buenos Aires dans le solo la mort du cygne, et ouvrit une école de danse à Paris cette même année. Elle fit ses adieux à la scène en 1972 aux côtés de Cyril Atanassoff dans le rôle de Giselle. De 1970 à 1977, elle présida l’Académie Internationale de Danse à Paris et transmit son talent auprès des danseurs étoiles de l’Opéra. En 1976, Yvette Chauviré joua dans la pièce de théatre Anphitryon de Jean Giroudoux. Elle fut également présidente d’honneur de l’Association Française des Maitres de Danse Classique (A.F.M.D.C.). En 1991, elle accepta de remonter sur scène en Suisse pour créer le rôle de Maud à l'occasion de la création contemporaine du ballet Harold et Maud de la compagnie Sinopia Ensemble de Danse, chorégraphie d'Etienne Frey, un rôle qu'elle interpréta en alternance avec Rosella Hightower, sur une musique originale de Michaël Jarell composée pour ce ballet.
Elle reçut le titre de prima ballerina assoluta, une distinction très rarement décernée. Yvette Chauviré fut nommée Commandeur de la Légion d’Honneur en 1988 et Grand Officier de la Légion d’Honneur en 2010.
Yvette Chauviré est décédée le 21 octobre 2016.
Source : Etoile de l'Opera / E-monsite
En savoir plus : etoiledelopera.e-monsite.com
Coralli, Jean
Jean Coralli Peracini est un danseur et maître de ballet italien né à Paris le 15 janvier 1779 et mort dans la même ville le 1er mai 1854.
De famille bolonaise, Jean Coralli vient étudier à l'école de l'Opéra de Paris, où il débute en 1801. Il chorégraphie ses premières œuvres en 1806 pour Vienne, Milan, Lisbonne et Marseille. Nommé maître de ballet au théâtre de la Porte-Saint-Martin en 1825, il occupe les mêmes fonctions à l'Opéra en 1831, où il remplace Jean-Pierre Aumer en évinçant Filippo Taglioni et où il chorégraphie ses œuvres les plus significatives et les plus renommées.
Sa chorégraphie de "Giselle", en collaboration avec Jules Perrot, marque l'apogée du ballet romantique et est toujours représentée aujourd'hui.
Source: Danse Aujourd'hui
Clerc, Florence
Florence Clerc entre à l'école de danse de l'Opéra en 1962 où elle eut pour professeurs Serge Peretti, Alexandre Kalioujny et Christiane Vaussard, cette dernière eut une grande influence sur son apprentissage. En 1967, elle fut admise dans le corps de ballet où elle gravit tous les échelons. Dés sa nomination au rang de coryphée en 1969, Florence Clerc dansa des rôles de solistes en-dehors de l'Opéra. En 1975, elle fut promue première danseuse et se vit confier à l'Opéra des rôles d'étoiles dans La Bayadère, Le Loup, Le Boléro, etc. La même année, elle obtint la médaille de bronze au Concours International de Tokyo. En 1976, Michaël Barychnikov l'a choisie pour danser sa version de Casse-Noisette à l'American Ballet Theatre.
Florence Clerc efut consacrée danseuse étoile en 1978 lors de sa prise de rôle dans Giselle. En 1983, Rudolph Noureev lui confia le rôle-titre du ballet Raymonda qu'il remontait pour l'Opéra de Paris. Après son départ à la retraite*, elle devint répétitrice pour le ballet de l'Opéra de Paris. En parallèle, elle remonta les ballets de Rudolph Noureev pour certaines compagnies, comme La Bayadère au Boston Ballet en 2010. Elle est mariée au danseur étoile et directeur du Ballet de Bordeaux Charles Jude.
Source: Les étoiles de l'Opéra de Paris - E-monsite
Perrot, Jules
Chorégraphe et danseur français né à Lyon en 1810 et mort à Paramé en 1892. Fils du chef machiniste du théâtre de Lyon, Jules Perrot est initié à la danse et à l'acrobatie dans cette ville, avant d'être, à Paris, l'élève favori d'Auguste Vestris. Il débute à l'Académie royale de musique en 1830, et partage le succès de Marie Taglioni dans « Zéphire et Flore », « Robert le Diable », « Nathalie ou la Laitière suisse ». Il se produit ensuite sur différentes scènes européennes : à Vienne où il règle sa première chorégraphie, Kobold, à Munich, à Milan et à Naples. De retour à Paris, il présente pour la première fois au public parisien sa protégée : Carlotta Grisi dans « Zingaro » (1840) ; à Londres, au Her Majesty's Theatre, il réunit les fonctions de danseur, de maître de ballet et de chorégraphe (1841-1848). Il crée, avec J. Coralli, « Giselle » pour Carlotta Grisi (1841) ; le fameux "Pas de Quatre", qui réunit Fanny Cerrito, Carlotta Grisi, Lucile Grahn et Marie Taglioni. Après un engagement à l'Opéra de Paris (1849), où il règle « La Filleule des Fées », il gagne Saint-Pétersbourg, où il triomphe au Théâtre impérial en qualité de danseur, maître de ballet et chorégraphe, jusqu'en 1859.
Personnage intransigeant, entièrement captivé par son art, peu favorisé par son apparence physique (Auguste Vestris, son professeur, lui conseille en effet de ne jamais rester sur place afin de ne pas attirer l'attention sur son physique), il acquiert la célébrité par son élévation, son élégance et son sens dramatique. Doué d'un sens scénique très sûr, il règle essentiellement des ballets d'action où la danse et la pantomime se succèdent sans rupture ; il excelle dans l'art de régler les mouvements d'ensemble d'un corps de ballet qui, avec lui, acquiert la valeur que nous lui connaissons actuellement. Il impose pour la première fois, à la suite d'un procès contre Marius Petipa, la reconnaissance juridique d'une chorégraphie comme œuvre d'art.
Source: Encyclopedie Universalis
En savoir plus
Protasoni, Tina
Tina Protasoni est une réalisatrice de films. Parmi sa filmographie, on peut compter les captations de spectacles tel que Giselle et La Bayadère, respectivement en 2005 et 2006, au théâtre de la Scala de Milan.
Source : Mubi
Ballet du théâtre de la Scala
Direction artistique : Mauro Bigonzetti
La compagnie de ballet actuelle du Teatro alla Scala peut se targuer d’un passé glorieux dont les origines remontent à plusieurs siècles, lors de l’inauguration du plus célèbre théâtre d’opéra du monde en 1778. De nombreux chorégraphes renommés comme Jean-Georges Noverre, Gasparo Angiolini ou Salvatore Viganò, allaient avoir une grande influence sur la danse européenne et ce, avant même la fondation de l’Académie de danse impériale de La Scala en 1813. À cette époque, Carlo Blasis, illustre danseur, professeur et théoricien, mena le ballet vers sa période romantique, contribuant ainsi à faire évoluer son style techniquement. Enrico Cecchetti diffusa l’enseignement des techniques académiques italiennes en Russie et grâce aux Ballets russes de Serge Diaghilev, qu’il avait rejoint, il les projeta dans cette nouvelle ère. La danse à La Scala entra alors dans le XXe siècle avec en son sein des chorégraphes de renom liés aux Ballets russes, tels que Mikhail Fokin et Leonide Massine.
Aurel Milloss est le principal exemple de la danse libre et expressionniste de l’Europe centrale des années 30 et 40. Arturo Toscanini lui confia la tâche de réunir les talents de la compagnie qui s’étaient dispersés après la Seconde Guerre mondiale. Pour son répertoire, il ne choisit pas seulement des grands musiciens et des scénographes et peintres renommés, mais également des invités prestigieux comme George Balanchine. Dans les années 1950-1960, La Scala devint une scène ouverte aux grands noms du paysage artistique de l’époque. Roland Petit y fit ses débuts en 1963, Maurice Béjart dans les années 70 et de nombreux artistes importants y furent invités comme Rudolf Noureev, avec qui le théâtre milanais débuta une très étroite collaboration à partir de 1965.
Grâce aux qualités d’interprétation et aux compétences techniques et expressives sans faille des étoiles de La Scala (Svetlana Zakharova, Roberto Bolle ou Massimo Murru), des artistes invités, des premiers danseurs, des solistes récemment nommés et des nombreux membres du corps de ballet fréquemment choisis pour interpréter des rôles principaux, la direction de Makhar Vaziev (de 2009 à fin 2015) adopte fièrement un ensemble précis de normes artistiques. L’objectif est de redynamiser le répertoire du ballet le plus influent et rafraîchissant du XXe siècle, comme une « tradition du nouveau » dans le monde de la danse classique : faire revivre les classiques essentiels, offrir aux jeunes chorégraphes de nouvelles possibilités de création et attirer les grands chefs d’orchestre sur l’estrade du théâtre ; à la fois comme un attrait supplémentaire et comme une preuve évidente de l’excellence musicale qui caractérise le théâtre de La Scala, non seulement dans ses représentations lyriques mais également dans ses productions chorégraphiques.
Sous sa direction, la hiérarchie de la compagnie de ballet se développe à tous les niveaux. Les premiers danseurs actuels comprennent Nicoletta Manni et Claudio Coviello, parmi les solistes nous retrouvons Massimo Garon, Marco Agostino, Virna Toppi, Vittoria Valerio et Federico Fresi. On remarque également que de très jeunes danseurs formés à l’école de ballet font leur apparition dans les rangs de la compagnie, parmi eux on peut distinguer Alessandra Vassallo et Christian Fagetti et de nombreux nouveaux danseurs comme Lusymay Di Stefano, Denise Gazzo, Timofej Andrijashenko, Nicola Del Freo et Martina Arduino, qui y ont fait leurs débuts dans des rôles principaux, réalisant ainsi la mission de la compagnie qui consiste à reconnaître et choisir de nouveaux talents. Mauro Bigonzetti, le successeur de Makhar Vaziev, ayant dû renoncer à la direction du ballet à cause de problèmes de santé, la direction de la compagnie de ballet a été confiée à Frédéric Olivieri, à compter d’octobre 2016.
Source : Site internet du Ballet du théâtre de la Scala
En savoir plus : teatroallascala.org
Giselle
Chorégraphie : Jean Coralli et Jules Perrot, remonté par Yvette Chauviré et Florence Clerc
Interprétation : Ballet du Théâtre de la Scala : Svtlana Zakharova (Giselle), Roberto Bolle (Albrecht), Vittorio D'Amato (Hilarion), Marta Romagna (Myrtha), Francisco Sedeno (le Duc), Flavia Vallone (Bathilde) et le corps de ballet du Théâtre de la Scala
Texte : Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges et Théophile Gautier (livret)
Musique originale : Adolphe Adam
Musique live : David Coleman (Chef d'orchestre), Orchestre du Théâtre de la Scala
Costumes : Aleksandr Benois
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : Production Rai Tre et Rai Trade, 2005
Arthaus Musik
Arthaus Musik est un label de musique classique sur DVD et Blu-ray. La société appartient à Studio Halle GmbH et gère la filiale Monarda Arts.
Arthaus Musik GmbH a été fondée à Munich en mars 2000 et est établie à Halle (Saale) depuis 2007. Le label publie depuis treize ans des disques d'opéras, de ballets, de concerts classiques, de jazz, de productions théâtrales et de documentaires sélectionnés sur la musique et les arts. Depuis lors, plus de 700 titres ont été publiés sur DVD et Blu-ray, avec un maximum de 100 par an.
Parmi les publications figurent des enregistrements avec des artistes tels que Plácido Domingo, Cecilia Bartoli, Luciano Pavarotti, Maria Callas, Jonas Kaufmann, Burkard Schliessmann et des chefs d'orchestre tels que Carlos Kleiber, Claudio Abbado, Nikolaus Harnoncourt, Lorin Maazel, Pierre Boulez et Zubin Mehta. Les enregistrements proviennent d’opéras tels que La Scala, l’Opéra d’État de Vienne, l’Opéra Royal Covent Garden, l’Opéra National de Paris et l’Opéra de Zurich.
En savoir plus : arthaus-musik.com/
La danse classique occidentale entre dans la modernité du 20e siècle : Les Ballets russes et les Ballets suédois
Si le 19e siècle est celui du romantisme, l’entrée dans le nouveau siècle est synonyme de modernité ! Ce sera quelques décennies plus tard que lui sera attribué a posteriori un nom : « le néo-classique ».
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1930-1950] De la Modern Dance expressive à une vision moderne abstraite.
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.
Pourquoi je danse ?
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Féminin - Masculin
Promenade entre les différentes conceptions et réceptions des genres dans les différents styles et époques de la danse.
La Nouvelle Danse Française des années 80
En France, à l’aube des années 80, une génération de jeunes s’empare du corps dansant pour esquisser leur vision singulière du monde.
À corps et à cris
La filiation «américaine» de la danse moderne [1900-1930] : De la danse libre à la Modern Dance.
Genèse des oeuvres
Un spectacle de danse se crée en plusieurs étapes qui se situent entre le moment où s’énonce un désir initial qui lance le projet, et celui de la première représentation.
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
La relecture des œuvres
Certains grands spectacles sont revisités à travers les siècles. Voici deux exemples de pièces relues par différents chorégraphes.
Des genres et des styles
La danse est un terme bien vaste qui comprend beaucoup de spécificités. Ils dépendent de la culture d’un pays, d’une époque, d’un lieu. Ce Parcours propose une visite entre les genres et les styles de la danse.