Carolyn Carlson, Solo
1983 - Réalisateur-rice : Labarthe, André S.
Présentée dans la/les collection(s) : Carolyn Carlson Company
Carolyn Carlson, Solo
1983 - Réalisateur-rice : Labarthe, André S.
Présentée dans la/les collection(s) : Carolyn Carlson Company
Carolyn Carlson, Solo
Venise, 1983. Carolyn Carlson donne le 10 octobre sur la scène de la Fenice la première représentation de son nouveau spectacle Solo dont elle assure à la fois la chorégraphie et la mise en scène. Une semaine avant que la forme définitive du spectacle n'ait été trouvée, André S. Labarthe a filmé la danseuse américaine et a capté les moments de tension créatrice où l'artiste accouche peu à peu de son œuvre, où elle répète, réfléchit, commente son propre travail, hésite, doute, improvise. Neuf mois après la création à Venise, Carolyn Carlson est au Théâtre de la Ville. Interviewée, elle souligne les modifications qu'elle a apportées à la chorégraphie et à la scénographie.
Source : films-documentaires.fr
Labarthe, André S.
Après des études universitaires en philosophie, André S. Labarthe commence sa carrière de critique cinématographique dans les années cinquante. Le jeune homme dont la cinéphilie était avant tout imaginaire (il a commencé par lire sur le cinéma avant de voir des films) rencontre André Bazin lors d'une projection. Séduit par son regard critique, le théoricien le sollicite pour rejoindre la rédaction des Cahiers du cinéma, revue qu'il a cofondée en 1951.
La vision d'André S. Labarthe va beaucoup contribuer aux positionnements des Cahiers du Cinéma, le critique étant très attentif au cinéma émergeant et à la Nouvelle Vague. À l'instar de ses collaborateurs, il préfère le cinéma qui fait "travailler" son spectateur et est de ce fait un grand admirateur de Michelangelo Antonioni, même s'il partage avec ses confrères une même admiration pour les "auteurs" tels que Howard Hawks ou John Ford.
André S. Labarthe passe à la réalisation et à la production quand il démarre avec Janine Bazin la série Cinéastes de notre temps de 1964 à 1970, une collection de portraits d'une durée de 52 minutes portant sur des cinéastes réputés et dont le premier est consacré à Luis Buñuel. Parallèlement, il collabore à l'émission Cinéma Cinémas de 1982 à 1987 ainsi qu'à de nombreux magazines télé consacrés à la danse, la peinture, au théâtre et dernièrement à la littérature, avec la collection Un siècle d'écrivains. La Société des gens de lettres lui décerne en 1984 le Grand Prix de la télévision pour l'ensemble de son œuvre.
En 1990, André S. Labarthe remet en chantier sa collection de portraits de cinéastes renommée Cinéma, de notre temps. Elle comprend la restauration de films de la première série et de nouvelles réalisations (axées sur le cinéma, toujours contemporain quelle que soit son époque) qui sont diffusés sur Arte. Il réalise également un documentaire sur le chorégraphe William Forsythe et est également auteur de quelques ouvrages sur le cinéma et la peinture.
Sa carrière d'acteur est faite de courtes apparitions dans des films majoritairement français comme ceux de Jean-Luc Godard (il interprète un journaliste dans A bout de souffle et fréquente également le tournage de Allemagne, annee 90 neuf zero ou de JLG/JLG) ou Jacques Rivette (L'Amour fou). Présent également chez la nouvelle génération de cinéastes, il joue les patrons de cabaret dans le film de Mathieu Amalric, Tournée, primé pour sa mise en scène au Festival de Cannes 2010.
Source : Allociné
Carolyn Carlson, solo
Direction artistique / Conception : Alain Plagne
Chorégraphie : Carolyn Carlson
Texte : Commentaire dit par Jean-Claude Dauphin
Son : Xavier Vautrin, Jean Mirondo
Autres collaborations : Image : Jacques Audran, Maurice Perrimond, assistés de Régis Nahon / Montage : Danielle Anezin assistée de Françoise Besnier / Mixage : Jean-Pierre Laforce / Super 8 : Sammy Tygal /
Production / Coproduction de l'œuvre vidéo : André Labarthe, INA
Durée : 58'10''
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