The dance of nothing
1998 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Présentée dans la/les collection(s) : Biennale de la danse , Biennale de la danse - 1998
Producteur vidéo : Maison de la Danse;Biennale de la Danse
The dance of nothing
1998 - Réalisateur-rice : Picq, Charles
Présentée dans la/les collection(s) : Biennale de la danse , Biennale de la danse - 1998
Producteur vidéo : Maison de la Danse;Biennale de la Danse
The dance of nothing
Personnages essentiels de la création israélienne, Liat Dror et Nir Ben Gal posent dans toutes leurs œuvres des questions essentielles pour leur patrie, leur vie. « The dance of nothing » réunit sur scène dix danseurs israéliens et quatre musiciens arabes. C'est une histoire d'amour ou plutôt une histoire sur l'amour ; un amour interdit entre une Palestinienne et un Israélien, aux mêmes origines et à la même couleur de peau, deux êtres victimes de l'hostilité de tous. Les deux chorégraphes déploient la danse dans leur langage cinétique, typique et plein de tensions, dans ce jeu tantôt violent, tantôt délicat où se confrontent les énergies féminine et masculine. Mais bientôt, celles-ci ne seront plus les seules à relier les amoureux. Très vite, le courant se divise en cercles de plus en plus larges : famille, amis, église, état qui empiètent les uns sur les autres. En dépit de toute adversité, c'est la fête, on pétrit et on cuit le pain sur scène pour le partager avec le public.
Source : Site Liat Dror Nir Ben Gal Dance Company
Picq, Charles
Auteur, réalisateur et vidéaste, Charles Picq (1952-2012) entre dans la vie professionnelle dans les années 70 par le théâtre et la photographie. Après une reprise d'études (Maîtrise de Linguistique - Lyon II, Maîtrise des Sciences et Techniques de la Communication - Grenoble III), il se consacre à la vidéo, d'abord dans le champ des arts plastiques à l'Espace Lyonnais d'Art Contemporain (ELAC) et avec le groupe "Frigo", puis dans celui de la danse.
Dès la création de la Maison de la Danse à Lyon en 1980, il est sollicité pour y entreprendre un travail de documentation vidéo qu'il poursuit toujours depuis. Durant les années 80, marquées en France par l'explosion de la danse contemporaine et le développement de l'image vidéo, il fait de nombreuses rencontres avec des artistes tels qu'Andy Degroat, Dominique Bagouet, Carolyn Carlson, Régine Chopinot, Susanne Linke, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Michel Kelemenis. Son activité se déploie dans le champ de la création avec des installations et des vidéos en scène, ainsi que dans celui de la télévision avec des spectacles filmés, des recréations et des documentaires. Avec Dominique Bagouet (80-90), la rencontre est particulière. Il documente sa création, l'assiste sur " Le Crawl de Lucien" et co-réalise avec lui les films "Tant Mieux, Tant Mieux" et "10 anges".
Dans les années 90, il devient le directeur du développement vidéo de la Maison de la danse et œuvre, avec le soutien de Guy Darmet et son équipe, pour une place grandissante de l'image vidéo au sein du théâtre à travers plusieurs initiatives :
• Il fonde une vidéothèque de films de danse, d'accès public et gratuit. C'est une première en France. Poursuivant la documentation vidéo des spectacles, il en organise la gestion et la conservation.
• Il impulse la création d'un vidéo-bar et d'une salle de projection vidéo dédiée à l'accueil scolaire.
• Il initie les "présentations de saisons" en image.
• Il conçoit l'édition du DVD "Le tour du monde en 80 danses", une vidéothèque de poche produite par la Maison de la Danse pour le secteur éducatif.
• Il lance la collection « Scènes d'écran » pour la télévision et le web, il entreprend la conversion numérique de la vidéothèque et crée Numeridanse.
Ses principaux documentaires sont : "Enchaînement", "Planète Bagouet", "Montpellier le Saut de l'Ange", "Carolyn Carlson, a woman of many faces", "Grand Ecart", "Mama Africa", "C'est pas facile", "Lyon, le pas de deux d'une ville", "Le Défilé", "Un Rêve de cirque".
Il a également réalisé des films de spectacle : "Song", "Vu d'Ici" (Carolyn Carlson),"Tant Mieux, Tant Mieux", "10 anges", "Necesito" et "So Schnell", (Dominique Bagouet), "Im bade wannen","Flut" et "Wandelung" ( Susanne Linke), "Le Cabaret Latin" (Karine Saporta), "La danse du temps"(Régine Chopinot), "Nuit Blanche"( Abou Lagraa), "Le Témoin" (Claude Brumachon), "Corps est Graphique" (Käfig), "Seule" et "WMD" (Françoise et Dominique Dupuy), " La Veillée des Abysses" (James Thiérrée), Agwa »(Mourad Merzouki), Fuenteovejuna (Antonio Gadès), Blue Lady revisted (Carolyn Carlson)…
Source : Maison de la Danse de Lyon
Liat Dror Nir Ben Gal Dance Company
Direction artistique: Liat Dror et Nir Ben Gal
Année de création: 1996
Liat Dror et Nir Ben Gal, enfants d'un kibboutz du nord d'Israël, étudiants de musique et de danse à l'Académie Rubin de Jérusalem, élèves de Judith Arman, couple dans la vie et sur la scène, sont l'emblème d'une génération de quarante ans, engagée dans la vie politique et le processus de paix au Moyen-Orient, qui trouve son identité entre le sionisme et l'intifada et invente son propre langage artistique dans une danse tout à fait explosive. De 1985 à 1992, ils brûlent les étapes, font la conquête du public international en moins de dix chorégraphies et sont présents sur toutes les scènes qui comptent en Europe et dans le monde.
Source : Site de la Compagnie Lia Dror Nir Ben Gal
En savoir plus : adama.org
The dance of nothing
Chorégraphie : Liat Dror, Nir Ben Gal
Costumes : Zimra Dror
Production / Coproduction de l'œuvre chorégraphique : Centre National de Danse Contemporaine d'Angers, l'Esquisse, Festival Théâtre des Nations (Zurich)
Durée : 1h55
[1930-1960] : Entre Europe et Etats-Unis, un néoclassicisme à l’écoute de son temps
Les Ballets russes ont ouvert la porte à ce qui sera nommé plus tard : le néoclassique. A l’époque, l’expression « ballet moderne » est souvent utilisée pour définir ce renouvellement esthétique : un savant mélange de tradition et d’innovation définit par chaque chorégraphe.
James Carlès
L'artiste engagé
Dans tous les arts et ici spécialement en danse, l’artiste crée parfois pour défendre une cause, dénoncer un fait, troubler, choquer. Voici un panorama de quelques créations chorégraphiques « engagées ».
La filiation « américaine » de la danse moderne. [1930-1950] De la Modern Dance expressive à une vision moderne abstraite.
[1970-2018] Développements néoclassiques : diffusion mondiale, répertoires multiples et dialogues avec la danse contemporaine
Avec les années 1970, l’élan des artistes vers un nouveau classique a plus d’un demi-siècle et ainsi plusieurs générations se sont déjà déployées depuis les Ballets Russes. Au fil des décennies, chacun a défendu ou défend la danse classique sous le signe de la nouveauté, de la singularité, de la connexion avec les autres arts et avec les préoccupations de son temps.
les ballets C de la B et l'esthétique du réel
Collaborations artistiques
Petit panorama de collaborations artistiques, des « couples » de chorégraphes aux créations impliquant des musiciens ou des plasticiens, via quelques rencontres atypiques
Féminin - Masculin
Promenade entre les différentes conceptions et réceptions des genres dans les différents styles et époques de la danse.
Les racines de la diversité en danse contemporaine
Quand le réel s'invite
Comment les œuvres témoignent-elles du monde ? L’artiste contemporain est-il lui-même le produit d’une époque, d’un milieu, d’une culture ?
Folklores dites-vous ?
Présentation de la manière dont les chorégraphes contemporains revisitent le Folklore.
La danse au Québec : Les corps déraisonnables
Première partie du Parcours consacré à la danse au Québec, voici un ensemble d’extraits présentant l’utilisation très physique du corps.
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Certains grands spectacles sont revisités à travers les siècles. Voici deux exemples de pièces relues par différents chorégraphes.
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La danse est un terme bien vaste qui comprend beaucoup de spécificités. Ils dépendent de la culture d’un pays, d’une époque, d’un lieu. Ce Parcours propose une visite entre les genres et les styles de la danse.